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Christ

sous l'apparence d'

Hostie

est réellement présent dans le

Tabernacle

Voici quelques bonnes raisons pour arrêter de «sacrer»

1) Ne pas sacrer, c'est payant!

Sur le marché du travail, il y a une tendance générale à entendre moins sacrer dans les échelons supérieurs. Mettez-vous à la place du patron: donneriez-vous une promotion à un employé mal embouché, pour ensuite l'envoyer rencontrer un client important?

2) Ne pas sacrer, c'est inspirant!

Partout autour de vous, des gens luttent silencieusement et parfois désespérément contre leurs mauvaises habitudes: arrêter de fumer, perdre du poids, arrêter de boire, etc. En triomphant de votre mauvaise habitude de sacrer, vous inspirez les gens à se dépasser.

3) Ne pas sacrer, c'est faire preuve de civisme!

Manquer de civisme, c'est vandaliser les murs avec des graffitis, conduire bruyamment et dangereusement, mettre sa musique trop fort de manière à déranger les voisins, etc. Quelqu'un qui sacre pollue son environnement spirituel. Or, dans une société pluraliste, il faut autant que possible respecter les croyances d'autrui.

4) Ne pas sacrer, c'est encourager une juste notion de la culture!

Certaines personnes prétendent que sacrer fait partie de la «culture québécoise». Si c'était vrai, les états-uniens agiraient bien en engraissant, en polluant et en accumulant des armes. Après tout, cela fait partie de leur «culture américaine»! Sauf que la culture n'est pas bêtement la somme des habitudes, bonnes ou mauvaises, d'un peuple.

5) Ne pas sacrer, c'est défendre la beauté de la langue française!

À écouter certains jeunes, on pourrait presque croire que le français est composé à 33% de sacres, 33% d'anglicismes, et 33% de mots français mal articulés. La langue, c'est comme la santé: elle se perd si on n'en prend pas soin!

6) Ne pas sacrer, c'est faire la volonté de Dieu!

Certaines personnes sacrent quasi inconsciemment. Leur comportement est donc en partie excusable. Mais «le blasphème s'oppose directement au deuxième commandement. [...] Il est contraire au respect dû à Dieu et à son saint nom. [...] Il est de soi un péché grave.» [CÉC, §2148].

 

Que le Christ, vraiment présent dans le tabernacle sous l'apparence d'hostie, vous bénisse!

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